Chapître premier.

Je n'est jamais été un très bon élève, ni d'ailleurs un enfant très sage, alors c'est tout naturellement que mes parents ont décidé de m'envoyer en pensionnat dans une école privé, réputée pour être particulierement stricte.

 Comme vous pouvez vous en doutez mes parents ne ce sont jamais beaucoup interesser à moi, leurs professions accaparaient le peut de temps qu'ils avaient,et c'est à peine si ils se regardaient encore...

C'est lors d'une journée pluvieuse que je débarquait devant le portail lugubre et froid de ma nouvelle école... "Ecole Rose-Marie", ma mère me jettait là, seul avec pour unique bagage une petite vasile remplis de vetements.

J'attendais là, sous la pluie battante que quelqu'un vienne enfin se préocupper de mon sort.. enfin une femme tout de noir vétue apparus au loin, abriter sous son parapluie, la démarche lente et assurer, j'apercevais enfin son regards puissant, celui des femmes durs... celles qui imposent le respect.

"Voici donc notre nouveau pensionnaire ?"

Je hochais la tête..

"Suivez moi, nous allons procéder à votre inscription."

Je suivais cette femme la tête baisser... qu'avais-je fait de si terrible pour mériter ça...

Nous passâmes les portes du pensionnat, j'appercevais des jeunes filles pouffant de rire en haut d'un vielle escalier..

"Retournez immédiatement à vos appartements ! Vous savez à quoi vous vous exposer en désobéissant ainsi !"

Ses jeunes harpies retournèrent illico dans leurs chambre, je ne m'éttais pas tromper, cette femme représentait belle et bien l'autoritée dans cet établissement. Il vallait mieux faire profil bas pour le moment.

La clef s'enfonca dans le verrou, puis la porte s'ouvris.. désormais mes pas ne résonaient plus, le plancher grincant avait laisser place au son feutrer d'un tapis. Un bureau luxueu servait à cette femme, surment la directrice.

Elle pris soin de refermer la porte a double tour.. pourquoi ? je ne le savais pas encore..

Etrangement aucune chaise pour m'assoire.. je restais là debout, mon coeur battant la chamade, qu'allais-je devenir.

"Bien commencons, comment t'apelle tu ?"

"Jordan, madame."

"Désormais nous t'appelerons J."

Surpris de cette drôle de manière, je ne put m'empecher de froncer les sourcils.. en signe manifeste d'incompréhension.

"Je ne te demande pas de comprendre ! Nous allons t'assigner une chambre, mais avant ça nous allons devoir juger de ton potentiel.. Approche mon garçon."

J'approchais du bureau, quel test allais on encore me faire passer.. je detestait l'école et c'était pas prêt de changer..

Elle empoigna la cravatte de mon uniforme et tira dessu, plaquant ainsi mon visage sur son bureau..

"Ecoute moi bien, tu à interêt à t'habituer très vite à ta nouvelle maison. Tout ceux qui passe cette porte ne retourne que très rarement dehors.. Alors mainteant fait oui de la tête si tu ma bien compris !"

Appeurer par cette folle, je faisait oui de la tête..

Elle fit glisser sa chaise de bureau en arrière..

"Aller passe sous le bureau ! Applique toi, et je serais te recompenser !"

Ses cuisses grandes ouvertes, offrant à mes yeux de jeunes garçon, la vision de sa chaire... C'était la première fois que je voyais le sexe d'une femme.. cette beauté cru..

Je disparue sous l'obscurité du bureau, je découvrait le goûts puissant des liqueurs de Madame la directrice.. je cherchais tant bien que mal à lui procurer du plaisir et elle ne se génait pas pour me remettre à ma place  en me flaquant des coups de pieds..

Lasse de mon inexpérience, comme pour me guider elle glissa ses doigts dans mes cheveux et commenca son lent va et viens sur ma langue dréssée.

"Que j'aime jouir dans la bouche des jeunes hommes..."

Elle ouvrit un de ses tiroir, pour sortir un formulaire d'inscription quelle déposa soigneusement sur son bureau.. attrapant une poigné de mes cheveux comme pour me désigner le formulaire.. le genre d'attitudes que l'on à vis à vis d'un animal..

"Ta plus qu'à signer!" Plaquant ma bouche engluer sur le papier

Quelqu'un frappa et une clef ce glissa dans la serrure..

Elle m'attrapa par la cravatte me forcant a dévoiler mon visage couverts de ses douces liqueurs..

"Ah madame l'intendante !Vous arrivez à temps, je viens de terminer l'inscription de notre nouveau pensionnaire ! Pourriez vous raccompagnier ce jeune homme à sa chambre ? Donnez lui la 108, pensez bien à lui donner ses fournitures !."

"Mais madame ?! La 108 vous êtes sûrs ?"

Un regards électrisat la pièce, l'intendante baissa la tête, un air desespérée sur son visage.

"Bien madame..."

"A bientôt mon garçon !"

Je suivais l'intendante, le visage encore empourpré et honteu, honteu d'avoir pris du plaisir...