Après deux mois de dressage, maitresse kali pour me récompenser décida de m’emmener en vacances. Une occasion d’encore m’humilier mais cette fois ci dans un autre contexte. Je préparais les valises seul pendant que ma chère déesse se divertissait, discutant avec je ne sais qui sur internet ... Moi je prenais soin de ne rien oublier car je savais bien que le moindre oublie pourrait me couter cher.

 « Viens ici ! »

 Je m’approche tout Peno sans mot dire…

 « Tu vas me faire les ongles des pieds ! Aller ! »

 Avec dévotion je m’appliquais à ne pas déborder sur les divins petons de ma chère maitresse. Que j’aime la sentir me regarder de si haut... pendant que je suis à ses pieds…

Une fois toute les affaires dans le coffre et 9h plus tard nous voici enfin arrivé à destination, la méditerranée.

 A peine installer je reçue l’ordre de me dévêtir, un esclave n’a rien à cacher à sa maitresse et surtout pas son corps nue…

« Aller viens ma petite salope ! C’est l’heur de ta douche ! »

Je savais ce que cela signifiait, et je dois dire que j’ai toujours aimé ce moment-là… 

Je devais déshabiller religieusement ma maîtresse, pendant qu’elle bien sûr s’amusait à me déconcentrer… me fessant, soupesant mes bourses, et parfois même branlant très lentement mon sexe... Avide de caresses au quelles, il n’avait guère souvent le droit.

« A genou… » Me glissa t’elle langoureusement dans l’oreille mais avec une certaine fermeté dont elle seul avait le secret.

Je savonnais avec passion son corps humide, sur lequel de petite goutte d’eau perlaient, commençant à la naissance de ses pieds, remontant lentement ses mollets puis ses cuisses, m’occupant chastement de sa toilette intime pour enfin caresser sa poitrine bronzée… 

« Tu vas nettoyer mon petit trou avec ta langue, je sais que tu aimes ça ! » Je lèche consciencieusement le petit cul de ma maitresse puis je plonge lentement ma langue... Comme un petit serpent qui s’immisce en elle ; j’ai toujours aimé sentir ce petit muscle tendu sur ma langue et les puissants parfums qu’ils s’en dégageaient. 

Qu’est que j’aimais sentir la douceur de ses courbes mélanger à l’odeur du savon... Sentir dévaler sous mes doigts ce corps... son corps ! Je disparaissais pour ne devenir qu’elle, j’apprenais par cœur la pureté de ses formes avec délice et dévotion… ma déesse…

Celle dont j’attendais clémence et fermeté à la fois !

Une fois ma maitresse toute propre l’heur de ma douche d’extase approchait !

« Lèche ! Petite pute ! »

M’ordonna t’elle enfouissant ma tête entre ses cuisses... qu’elle plaisir et quel bonheur de pouvoir satisfaire chacune des envies de ma maîtresse… me rendre indispensable à ses yeux...

Elle se cambrât pour offrir à ma bouche, le délice de son sexe ruisselant… enfonçant mon visage dans son intimité... D’un cou elle tira sur mes cheveux !

« Regarde-moi ! Combien de fois je vais devoir te le répéter petite trainée ?! » 

« Aller ouvre ta bouche c’est l’heur de ta douche, mon chère petit soumis ! » Observant la crainte dans mes yeux.

A genou, devant ma cruelle divinité je ne fis qu’obéir, offrant ainsi ma bouche à ses caprices sans m’arrêter de dévorer son sexe... je sais qu’elle raffole de ça ! M’obliger de la lécher, la remerciant comme une chienne docile, la remerciant de me pisser dans la bouche…

Une odeur puissante commença à m’envahir... puis se liquide chaud se déversa dans ma bouche… qu’est-ce que j’aimais qu’elle m’asservisse de cette façon… lui faire don de tout mon corps, jusqu’à lui permettre de se soulager dans ma bouche…

Je commençais à m’étouffer incapable de respirer…

« Ah t’aime ça hein quand je te pisse dans la bouche ?! SALOPE ! »

 « C’est la seule douche que tu mérites ! » 

Elle me laissa la seule… à genou...

 « Branle-toi… Montre-moi que ta des couilles esclave ! »

De toute façon j’étais tellement excité qu’il m’aurait été impossible de me retenir.

 Quel doux spectacle à ses yeux, pouvoir contempler le résultat de mon dressage intensif, voire à quel point j’étais devenue une trainée… sa petite trainée ! M’humilier et me rabaisser voilà ce que Maîtresse Kali faisait de mieux ! Et à juste titre !

« T’est tellement pathétique… » 

« Lave-toi pour de bon maintenant ! Et dépêche-toi je veux sortir ce soir ! »