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Mes vacances de trainée partie 3
Tags : », vas, petite, maitresse, moiDe retour à notre location et après notre petite séance au cinéma j’étais loin de m’imaginer que maîtresse Kali avait autres choses en tête, quelque chose de plus grand, un autres pas à franchir dans mon dressage !
« A poil et à genou trainée ! »
Elle installe mon collier autour de mon cou et fait trôner ma laisse autour de mes bourses… j’adore être ainsi attacher, nue comme un vers quand elle est habillé telle une impératrice ! Mon sexe se dressant dans un élan de virilité.
Une gifle vient me rappeler à l’ordre !
« Pour qui tu te prend ?!! Je vais te calmer moi ! De toute façon je voulais passer à l’autre étape de ton dressage… »
Maîtresse Kali avait décidé de me priver de la dernière lueur de virilité qu’il me restait, non contente de m’attacher comme un chien et de me tenir littéralement par les couilles ; non contente de me travestir, elle avait décidé de contrôler tout mon plaisir en enfermant mon sexe dans une cage…
« Tu arrêtes pas de te branler sale petite chienne en chaleur ! Je vais te faire boire quoi moi ?!
Alors voilà à partir de maintenant je vais te frustrer ! Te serra dorénavant, que la frustration est la clef de tout bon dressage, je vais faire de toi une chienne accomplie ! »
« Pitié maîtresse ne fait pas ça ! Vous êtes trop dur avec moi ! »
Ce fut la dernière fois que je contestais un ordre de ma maîtresse…
« Qui ta permis d’ouvrir ta gueule ?! Salope ! Je fais ce que je veux de toi ! Et puis tu oublies vite il me semble ! Qui est venue me supplie pour ce faire défoncer le cul comme une pute ?! C’est toi !!! Pour la peine je vais te montrer qui commande ici ! Jusqu’ici j’ai été très patiente avec toi ! Peut-être même un peu trop ! »
A genou, la tête baissé je me prépare aussi bien qu’on le peut dans ce genre de situation.
« On va redonner quelque couleurs à ce cul tout blanc ! A chacun de mes coups tu me demanderas pardon ! »
« Et d’un ! Répète après moi ! Pardon, je suis une sale petite garce qui mérite une bonne raclée ! »« Pardonnez-moi Maîtresse, je suis une sale petite garce… »
« Et de deux ! Je vais t’en donner une bonne dizaine histoire que tu n’oublies pas que tu es ma pute ! »
La cravache s’imprime sur mon cul offert, les pulsions sadiques viennent illuminer son visage et à chaque cri de douleurs qui s’échappe de ma bouche elle intensifie ses coups, comme si mes gémissements l’encourageait de plus belle… Elle aime m’entendre crier j’en suis sûr !
Elle s’absente me laissant à genou le cul écarlate.
« Tiens ça fait partie de ton nouvel entrainement ! Petite garce ! »
Me montrant triomphante des pinces à linges.
« Tu devines l’usage que j’ai envie d’en faire ? Montre-moi tes tétons ! »
Elle passe sa langue, lentement et avec un certain savoir-faire sur l’auréole de mes seins comme pour me préparer à cette douleur saisissante.
« Que tu es belle comme ça ! On peut vraiment faire tout ce qu’on veut de toi ! »
« Salope ! » Me lança-t-elle en profitant pour donner une pichenette sur la pince à linge.
Maîtresse Kali revient, son téléphone à la main et en profite pour me photographier.
« Fait ta salope ! Ça ne devrait pas être trop dur ! Ahahaha ! Faut que tu donnes envie de te faire baiser ! Réfléchis bien car t’est pas prêt de te resservir de ta queue !! »
Les larmes viennent couler sur mes joues, ma déesse vient s’en délecter littéralement en venant les lécher du bout de sa langue. Quel met délicieux!
« Demain je vais te faire toute belle » me chuchote t’elle doucement au creux de l’oreille
Je la regarde un peu étonner… pour quelle occasion ?! Simplement pour son plaisir ?
« Ne me regarde pas comme ça, tu vas avoir de la visite, tu vas voir, tu vas être bandante ! A ton avis à qui j’ai bien put envoyer nos petites photos ?! Je discute avec ces personnes depuis déjà deux mois ! Ce n’est pas pour rien que je t’ai emmené en vacances ici ! T’inquiète pas on va bien s’occuper de toi… ils sont des fans de ton blog… » Elle dévore langoureusement mon oreille, se régalant déjà à l’avance de mon futur supplice !
Je la déshabille religieusement… elle m’attache au pied du lit... frotte sa petite culotte contre son sexe brulant pour me l’enfiler sur la tête.
« Tu ne peux faire que de beaux rêves avec mon odeur ! Oh suis-je bête tu ne pourras même pas te soulager ! De toute façon il faut corriger cette vilaine petite manie ! »
Quel supplice, de ne pouvoir rien faire… avoir l’odeur si enivrante, avoir tellement d’image dans ma tête, celles d’hier, d’aujourd’hui et celles de demain… et ne pas pouvoir se soulager !
Comme pour m’achever maîtresse kali prit un malin plaisir à se caresser…bien sûr je ne pouvais rien distingué dans l’obscurité totale qui régnait… seulement le bruissement des draps, et la douce mélodie de son sexe humide harcelé par les mouvements frénétique de ses mains…
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