Quelque mésaventure et une bonne douche plus tard ma maîtresse décida de nous emmener au cinéma. Qu’est-ce que j’aimais ce peut de moment où, je pouvais me promener prêt de ma maîtresse comme un égal, avoir l’illusion d’être autres choses à ses yeux…

Vous savez ce qu’on dit sur le désespoir ? Plus on laisse espérer les gens et plus violente et la chute…

Maîtresse Kali aimait me faire miroiter tendresse et douceur ; me caresser et me glisser à l’oreille des gentillesses. Comme un enfant qui oublie qu’on la gronder, pour ensuite encore mieux le punir…

Pour mieux me prendre à revers et m’infliger encore quelque supplice.

Bras dessus bras dessous, nous patientons dans la file, ne me demandez pas quel film nous sommes allez voir, à dire vrai je n’en ai pas vu grand choses…

« J’en ai assez d’attendre ici ! Je m’ennuie ! Tu m’accompagne aux toilettes mon chérie ? »

Surpris par tant d’égards, si inhabituel pour moi je ne pus que hocher de la tête...

Elle prit ma main et m’emmena dans les toilettes des femmes…

Une fois la porte des toilettes fermer son visage changea instantanément ! Son regards devint dur et je reconnu son sourire sadique ce dessiner sur ses lèvres… si délicieuses... j’aurais donné tout ce que je possède pour avoir l’honneur de goûter de mes lèvres, ce sourire qui me fait tant d’effet !

« A quatre pattes sur les chiottes ! Et que ça saute ! »

 A mon stade de dressage on ne réfléchis plus, quand votre maîtresse vous intime un ordre vous obéissez purement et simplement…

« Baisse ton froc salope ! J’ai un cadeau pour toi ! »

Je baisse timidement mon pantalon sur mes genoux… laissant mon petit cul tout blanc offert à ses regards inquisiteurs, me retrouvant dans une position vraiment humiliante.

Elle farfouille dans son sac à main, je le devine au bruit. Elle apprécie tellement me laisser dans le doute et me faire stresser… elle sait que j’imagine toujours le pire !

« Lèche bien mes doigts ! Il faut te préparer pour ton cadeau! »

Elle fait pénétrer ses doigts dans ma bouche sans la moindre tendresse, s’amusant même à les enfoncés dans ma gorge pour voir jusqu’où elle peut aller.

Puis elle vient harceler mon cul offert avec ses doigts... pour me dilater l’anus et enfin m’offrir mon cadeau ! 

« C’est une surprise petite chienne ! Je suis sûr que tu vas aimer ! Tiens met mon string !

Faudrait quand même pas que tu oublies que tu es une salope hein ?! » Me cracha-t-elle à la figure

J’ouvre la bouche pour réclamer sa salive comme une chienne docile que je suis !

« Petite pute ! Tiens ! Pffff ! Avale » Une gifle fuse.

 « Merci maîtresse… »

 Quel honneur de recevoir ce baiser de sa part, pouvoir gouter sa salive !

Je me rhabille, je sens le string de ma maîtresse entre mes fesses, il me gêne un peu, la situation l’amuse beaucoup, du coup, elle en profite pour me donner une petite fesser discrètement, comme celle d’un homme donnerais à sa femme. Nous nous asseyons... mon visage encore empourprer de timidité.

« T’inquiète pas mon choux ! » me glisse t’elle gentiment a l’oreille

 Le film commence, l’obscurité naissante fait battre mon cœur a 100 à l’heure... quel sort me réserve-t-elle ?! Je sais très bien qu’elle n’en a pas terminé avec moi !

 Elle plonge deux de ses doigts entre ses cuisses, puis viens me les glisser sous le nez.

 « Tu aimes mes parfums hein ?! Ne ment pas je le sais ! Sinon pourquoi reniflerais-tu mes petites culottes en cachette ? »

 « Oui maîtresse ils me rendent ivre de désir… » Je lui chuchote langoureusement

 « Tiens régale toi ! Suce ! »

 Ce goût puissant vient réveiller mes papilles et mon sexe par la même occasion…

 « Petite gourmande va ! T’en redemande hein ?! »

  Un sursaut ! Pas le temps de répondre mon petit cadeau ce met à vibrer en moi... et je réalise que Maîtresse Kali tient une petite télécommande lui permettant de jouer quand elle le veut avec moi…

« Je vais prendre ça pour un oui ! Viens me lécher la chatte esclave ou ce soir tu regretteras d’être né ! » Me chuchote elle froidement

Mon visage disparait sous la jupe noire de ma douce tortionnaire… ses mains appuyé sur ma tête. 

Je le sens, maîtresse Kali est toute excitée à l’idée de m’humilier dans un lieu public, plus que d’habitude en tout cas, ma gorge est pleine de sa cyprine délicieuse et j’ai un jouet qui vibre dans le cul… c’est tellement bon… d’être son esclave sexuelle, son chien, sa salope comme elle aime le dire si souvent… Je me sens tellement libre entre ses cuisses le visage recouvert de sa cyprine… libre de ne plus réfléchir de ne plus penser qu’au plaisir de ma maîtresse ! Telle est ma place, entre ses cuisses, sous ses fesses, à ses pieds…Je suis son gode vivant, sa machine à jouir !