• La chambre 108

    Chapître deux.

    Je suivais l'intendante encore fébrile de ma mésaventure passée, ma valise à la main. Curieusement le cartable que tenait cette femme dans sa main attirait mon attention ? Etait-ce mes fournitures dont avais parler Mme la directrice ?

     L'intendante ce stopa net au détour d'un couloir.

     "Ecoutez bien ce que je vais vous dire mon garçon, cet chambre, votre chambre est occupée par les pires petites pestes de toute l'école, elles passent le plus claires de leurs temps à martyriser leurs camarades... je ne sait quoi vous dire... je.. je voulait simplement vous mettre en garde.."

    Surpris par la bienvaillance de cette femme je ne put que lui offrir un vague sourire atristé. Cette femme n'avais rien à voir avec la directrice. Une blonde plutôt petite et menue. Un visage doux et pourtant brisé.. Je ne sait pas depuis combien de temps elle occupait son poste dans cet école mais visiblement les années passer ici pesaient suffisement lourds sur ses petites épaules..

    Chambre 108

    "Nous y sommes, voici vos fournitures, comme vous pouvez le remarquer il y a un code pour l'ouvrir. Madame la directrice vous le transmettra en temps voulu. Les cours commencent à 8h30 sauf exception. Bien entendue vous prendrez avec vous votre cartable."

    "D'accord, merci pour tout madame.."


    "Ne me remerciez pas.."

    Ma main sur la poignée ne se sentais pas encore capable d'effectuer ce mouvement si simple, si habituel.. pourtant il allait bien falloir le faire... J'avais décider de ne pas me laisser faire, soit ce sont des petites garces, mais je ne suis pas un enfant de coeur non plus après tout et je vais pas me laisser enquiquiner par des filles !

    Je réunissait tout mon courage pour enfin effectuer le geste... La porte s'ouvrit dans un léger grincement. Mon visage éclairer par la lueur de la chambré ne reflétait plus que ma stupéfaction..

    Une pauvre jeune fille était là, attacher au lit, nue un baillon dans la bouche et ses trois jeunes tortionnaires figées me dévisageaient, d'abord surprise puis enfin étrangement souriantes...

    La pauvre jeune fille profitat du répis pour ce débatre et essaya de se soustraire du joug de ses camarades.. malheureusement rien n'y fait. Elle reçue une bonne correction pour avoir oser ce rebeller.

    "Profite du spectacle ! On s'occupera de toi après.." Me crachat la brune trop occupée à ce faire lécher l'entre-jambes par sa camarades attachée.

    Je m'asseyais sur mon lit tout pentelant... où était passer ma détermination, surement que je n'avais plus la force de rien vu la dur journée que je venais de passer, plus la force de sauvé qui que ce soit d'autres que moi même..

    Pendant que la brune au regards à la fois hautains et satisfait enfoncait le visage de la jeune suppliciée entre ses cuisses, une autre était montée sur son cul offert pour imprimer des va et viens incessant avec un marqueur dans son anus déjà bien dilater.

    La rousse elle avait attrapée la main de la jeune fille et s'en servait pour caresser energiquement son sexe trempé.. Aucune pudeur, ces trois jeunes filles avait surement l'habitude de ce genre de supplice.

    La rousse satisfaite de son orgasme lacha aussitot la main de la jeune fille en pleure.

    "Petite cochonne tu aime ça hein me frotter la chatte !" Une tape sur la fesse

    "Et toi ? Tu aimerais que je te branle petit pervers ?!" Frottant sa main sur mon sexe étonnement dur à travers le pantalon de mon uniforme.. étrangement sans m'en rendre compte ce spectacle avais avais été sacrément efficace...

    Ni une, ni deux elle glissa sa main dans mon caleçon.. comme une sorte de vipère..et secoua énergiquement mon membre au bord de l'explosion. Elle viens poser ses fesses rebondies sur mon lit en m'invitant à m'assoire sur ses genoux.. continuant ainsi à me branler comme jamais.. ses ongles rouge sur ma queue..L'impression d'être sa proie!

    De l'autre coté de la chambre le supplice de la jeune fille semblait prendre fin... La brune l'attacha à genou au pieds de son lit, comme une sorte de trophée.. sa blanche poitrine en avant du au fait quelle avait les poignet attaché dans le dos.

    La brune s'approcha : "Moi c'est Anna petite lope ! La rousse c'est Amandine et mon autre copine entrain de gifller l'autre conne au fonds c'est Chéyenne."

    Désormais je pouvait mettre un nom sur ses visage déformer par la haine et la colère.

    "Fou le à genou, qu'il comprenne"

    Finis les instants de plaisir.. me voila a genou.. comme cette pauvre fille.. mon sexe dressé et décalotter.. mon gland gonfler de sang prêt à faire jaillir mon plaisir..

    Chéyenne défait ma cravatte de façon si sensuelle que je ne me doutais pas de ce qui ce tramais.. Sans m'en appercevoir je me retrouvais avec ma cravatte en guise de baillon..

    Anna croque une pomme à pleine dents se réjouissant du spéctacle..

    La rousse elle était trop occuper à caresser ma tige..

    Je ne peut plus me retenir.. je ne peut plus lutter.. quel dextérité.. cette fille pour son âge comment ce fait t'elle qu'elle soit si doué..

    "Fait le gicler la dessus on va bien ce marrer !" Tendant sa pomme rouge sang

    A présent je me débattais, comme cette fille tout à l'heurs, mon reflexe fut de jeter un regards, qu"était t'elle devenue.. une sorte de catatonique, enmurer dans son silence. Surement ce qui me guettais..

    "Ahhhhh" Dans un puissant rale je jouissait, les mains d'Amandine pressant mes bourses afin de n'en perdre aucune goutte..

    Un épais jet blanc caressait les courbes de cette pomme rouge sang..

    Anna la posa par terre.. me flanquant un grands coup de pieds dans le ventre.

    "Bouffe salope ! Et on serra être gentille avec toi ! Ahaha"

    Chéyenne retira ma cravatte de ma bouche et appuyant mon visage de garçonnet sur cette pomme recouverte par ma semence. Je croquais.. pas parceque je croyais ce qu'elles venait de me dire, non simplement pour que m'on supplice s'achève, et vite..

    On attacha chacun de mes membres aux coins du lit...

    "Essaye de dormir J. ! Parceque cette nuit on va venir te rendre visite chacune notre tour ta intérêt d'être en forme ! C'est pas souvent qu'on à un gars dans notre chambre ! Moi je vais t'apprendre à lécher un minou... Parceque si t'est là c'est parceque la directrice n'a pas apprécier ! Ahaha"

    A mon tour je pleurais.. pourtant ce supplice... ces filles me rendaient ivre... ivre de désir.






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  • Projet au nom d'une rose !Comme certains d'entre vous on put lire j'ai décider de me lancer dans l'écriture d'un pseudo-roman, simplement par envie de narrer les histoires fripponnes qui me passent par la tête et surtout pour vous donner l'occasion de laisser vagabonder votre esprits... voire vos vilaines petite mains!
    Mais ce n'est pas tout!

    Je me suis dit qu'il pourrait être interessant de demander à mes chèr(e)s visiteurs (visiteuses) ce qu'il aimeraient lire. Je ne dit pas que j'exaucerais tout les fantasmes de tout le monde mais on peut, peut être essayer !


    Alors si le coeur vous en dit n'hésitez pas à poster vos idées à la suite de ce poste !

     

     

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  • Au nom d'une rose.Chapître premier.

     

    Je n'est jamais été un très bon élève, ni d'ailleurs un enfant très sage, alors c'est tout naturellement que mes parents ont décidé de m'envoyer en pensionnat dans une école privé, réputée pour être particulierement stricte.

     Comme vous pouvez vous en doutez mes parents ne ce sont jamais beaucoup interesser à moi, leurs professions accaparaient le peut de temps qu'ils avaient,et c'est à peine si ils se regardaient encore...

     

    C'est lors d'une journée pluvieuse que je débarquait devant le portail lugubre et froid de ma nouvelle école... "Ecole Rose-Marie", ma mère me jettait là, seul avec pour unique bagage une petite vasile remplis de vetements.


    J'attendais là, sous la pluie battante que quelqu'un vienne enfin se préocupper de mon sort.. enfin une femme tout de noir vétue apparus au loin, abriter sous son parapluie, la démarche lente et assurer, j'apercevais enfin son regards puissant, celui des femmes durs... celles qui imposent le respect.


    "Voici donc notre nouveau pensionnaire ?"

    Je hochais la tête..

    "Suivez moi, nous allons procéder à votre inscription."

    Je suivais cette femme la tête baisser... qu'avais-je fait de si terrible pour mériter ça...

    Nous passâmes les portes du pensionnat, j'appercevais des jeunes filles pouffant de rire en haut d'un vielle escalier..

    "Retournez immédiatement à vos appartements ! Vous savez à quoi vous vous exposer en désobéissant ainsi !"

    Ses jeunes harpies retournèrent illico dans leurs chambre, je ne m'éttais pas tromper, cette femme représentait belle et bien l'autoritée dans cet établissement. Il vallait mieux faire profil bas pour le moment.


    La clef s'enfonca dans le verrou, puis la porte s'ouvris.. désormais mes pas ne résonaient plus, le plancher grincant avait laisser place au son feutrer d'un tapis. Un bureau luxueu servait à cette femme, surment la directrice.

    Elle pris soin de refermer la porte a double tour.. pourquoi ? je ne le savais pas encore..

    Etrangement aucune chaise pour m'assoire.. je restais là debout, mon coeur battant la chamade, qu'allais-je devenir.


    "Bien commencons, comment t'apelle tu ?"

    "Jordan, madame."

    "Désormais nous t'appelerons J."

    Surpris de cette drôle de manière, je ne put m'empecher de froncer les sourcils.. en signe manifeste d'incompréhension.

    "Je ne te demande pas de comprendre ! Nous allons t'assigner une chambre, mais avant ça nous allons devoir juger de ton potentiel.. Approche mon garçon."

    J'approchais du bureau, quel test allais on encore me faire passer.. je detestait l'école et c'était pas prêt de changer..

    Elle empoigna la cravatte de mon uniforme et tira dessu, plaquant ainsi mon visage sur son bureau..

    "Ecoute moi bien, tu à interêt à t'habituer très vite à ta nouvelle maison. Tout ceux qui passe cette porte ne retourne que très rarement dehors.. Alors mainteant fait oui de la tête si tu ma bien compris !"

    Appeurer par cette folle, je faisait oui de la tête..

    Elle fit glisser sa chaise de bureau en arrière..

    "Aller passe sous le bureau ! Applique toi, et je serais te recompenser !"

    Ses cuisses grandes ouvertes, offrant à mes yeux de jeunes garçon, la vision de sa chaire... C'était la première fois que je voyais le sexe d'une femme.. cette beauté cru..

    Je disparue sous l'obscurité du bureau, je découvrait le goûts puissant des liqueurs de Madame la directrice.. je cherchais tant bien que mal à lui procurer du plaisir et elle ne se génait pas pour me remettre à ma place  en me flaquant des coups de pieds..

    Lasse de mon inexpérience, comme pour me guider elle glissa ses doigts dans mes cheveux et commenca son lent va et viens sur ma langue dréssée.

    "Que j'aime jouir dans la bouche des jeunes hommes..."

    Elle ouvrit un de ses tiroir, pour sortir un formulaire d'inscription quelle déposa soigneusement sur son bureau.. attrapant une poigné de mes cheveux comme pour me désigner le formulaire.. le genre d'attitudes que l'on à vis à vis d'un animal..

    "Ta plus qu'à signer!" Plaquant ma bouche engluer sur le papier

    Quelqu'un frappa et une clef ce glissa dans la serrure..

    Elle m'attrapa par la cravatte me forcant a dévoiler mon visage couverts de ses douces liqueurs..

    "Ah madame l'intendante !Vous arrivez à temps, je viens de terminer l'inscription de notre nouveau pensionnaire ! Pourriez vous raccompagnier ce jeune homme à sa chambre ? Donnez lui la 108, pensez bien à lui donner ses fournitures !."

    "Mais madame ?! La 108 vous êtes sûrs ?"

    Un regards électrisat la pièce, l'intendante baissa la tête, un air desespérée sur son visage.


    "Bien madame..."

    "A bientôt mon garçon !"

    Je suivais l'intendante, le visage encore empourpré et honteu, honteu d'avoir pris du plaisir...



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  • J'avais abandonner ma condition d'homme pour devenir l'objet sexuelle de Maîtresse Kali. Après avoir fait de moi sa salope elle avait réussi à faire de moi son jouet, sans la moindre force de caractère, une vraie larve prête à céder aux moindres de ses caprices, plus ils étaient vicieux et plus la chienne en moi en redemandait... Me forcant a lui faire l'amour pour m'obliger à boire le contenu de mon préservatif devant son sourire sadique...

    Maîtresse Kali assise dans son fauteuille me cagoula et m'ordonna de la lécher pendant quelle filmait... une longue heure passa et mon calvère ne s'arrétait pas... ma langue endolorie arrivait pourtant par miracle à toujours s'agiter.. ma bouche remplie des éfluves de ma déesse ne percevait plus que son goûts... si délicieux,ma queue dresser me faisait attrocement mal. Son talon enffoncer entre mes homoplates...

    "Ne le prend pas mal petite trainée, mais j'adore te faire du mal..."

    Je ne pouvais rien répondre, la bouche plongée entre ses cuisses. Avec cette cagoule j'était devenu anonyme.. une salope sans nom... qui ce préocuperait du nom d'une pute dans mon genre ?!

    "A genou !"

    Maîtresse Kali enfilait son gros engin noire... celui qu'elle aime m'enfoncer dans la bouche avant de venir me prendre....

    "J'ai envie de voir ta geule pendant que je te baise ! Salope ! Et puis je suis sur que les personnes qui verront la vidéos ont envie de voire ta geule quand je te ferais jouir du cul !"

    Elle retira ma cagoule et m'enfila ma tenue de salope soumise, cette robe rose qu'elle disait faîte pour moi... Puis triomphante, se pamant sur son fauteil..

    "A genou et suce ! Et applique toi !"

    "Ah t'aime ca hein ?! Regarde toi ! Je sait que tu fantasme à l'idée d'avoir du sperme plein ta petite geule ! Tourne toi ! Montre mon ton cul petite cochonne !"

     Timidement je me tournais, elle me faisait...

    "Soulève ta jupe ! Aller fait pas ta timide !"

    Je soulevait ma jupe timidement... l'image de personnes regardant cette vidéo me hantait..

    Un objet amusant... Elle me tira violement vers elle ! "J'en peut plus je veut te prendre le cul! Assieds toi la dessus ma jolie tu va m'en dire des nouvelles ! hahaha !"

    Je m'empalais lentement sur ce gros gode noire.. elle me pénétrait.. cette sensation

    "Plus vite salope ! Remue ton cul petite pute !" M'attrapant par les hanches..

    Elle me faisait mal, j'en pleurait... mais au fonds j'aimais attrocement ça...

    Mon sexe dresser n'allait plus tenir longtemps...

    "Tu gémis comme une petite vierge ! hahaha !"

    Dans une explosion de douleur et de plaisir confondue mon sexe deversa le fruit de ma jouissance, d'une telle force...

    Une lueur lubrique animait mon regards à moitié vide... tellement de mal a reprendre mes esprits..

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  •  J'ai décider de partager avec vous ces oeuvres de sardax, qui a chaque fois que je les regardes... anime en moi la flamme du soumis! Soumis et heureux de l'être ! Petite dédicasse a Graniny ! Je suis sur quelle te plairons beaucoup ;)

    L'art de la soumission... L'art de la soumission... L'art de la soumission...

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'art de la soumission... L'art de la soumission...

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'art de la soumission... L'art de la soumission...

     L'art de la soumission...

     

     

     

     

     

     

     

    L'art de la soumission... L'art de la soumission... L'art de la soumission...

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'art de la soumission... L'art de la soumission... L'art de la soumission...

     

     

     

     

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